11 septembre 2001, un nouveau monde commence "car la destruction n’est pas un point final mais un préliminaire". Kernal, le flic narrateur de Villa Vortex, meurt quelques jours après ce commencement, tué par l’explosion d’une bombe posée sous son bureau et nous raconte en 800 pages la fin des temps, à travers les dix dernières années de sa vie. Attention ! Ouvrir un roman de Dantec c’est comme entrer en religion. Oubliez tous vos repères, toutes vos valeurs, vous entrez dans un nouveau monde. Un monde apocalyptique et théologique, sans limite… les adjectifs sont infinis tant son écriture est riche, violente et poétique. Au rythme de "Diamond Dogs" de David Bowie, Villa Vortex est un roman placé sous le signe d’un thème cher à Dantec, la machine : informatique, sociale, politique, religieuse… Dantec écrit l’Histoire de la fin du XXe siècle à travers celle d’un flic déjanté et hors norme. Kernal le flic vit l’effondrement du monde, depuis la chute du mur de Berlin jusqu'à celle des Twin Towers. Il nous plonge dans une vision prophétique de notre temps sans rien oublier : violence, serial killer, terrorisme, inertie des institutions, corruption de l’État, religion… L’auteur est clair, ce livre est une fiction, mais "la vie est une fiction". Villa Vortex est un roman multiple par les différences de tons, d’écriture, les histoires et les intérêts s’entremêlent sans jamais, pourtant, perdre le lecteur. Dantec dose les genres, maîtrise, innove. Il reste inclassable, impossible de le ranger dans un seul genre littéraire même si on peut le rapprocher de Dan Simmons, de Jean-Christophe Grangé ou de Jean-Michel Truong. Il les dépasse et les englobe. Thriller, politique fiction, roman historique, théologique, traité de sciences humaines et de science-fiction, Villa Vortex est bien plus que cela. Combien de livres se rejoignent et se croisent dans ce Livre des Livres ? À vous de le découvrir… Les romans de Dantec sont des bulldozers jubilatoires qui vous prennent violemment dès la première page pour vous emmener en pleine extase jusqu’à la dernière. "Il est de mon devoir aujourd’hui de t’emmener toi aussi, lecteur, dans cette expérience". --_Nadia Krovnikoff_ --Ce texte fait référence à l'édition Broché .
Présentation de l'éditeur
Le 11 septembre 2001, l'inspecteur Kernal décroche son téléphone qui lui explose à la figure. Agonisant, Kernal remonte le temps, nous racontant les dix dernières années de son existence, cette décennie où le monde tel que nous le connaissons part en fumée. Fraîchement débarqué à la police de Vitry après de brillantes études en sciences sociales, Kernal avait été confronté à une série de crimes horribles entre 1991 et 1993 : des corps de jeunes filles recouverts de composants électroniques retrouvés aux environs de centrales électriques et nucléaires. Comme si le tueur voulait faire de ses victimes des marionnettes dernier cri… Nous retrouvons dans Villa Vortex tous les thèmes chers à l'auteur : serial killer technologique, décor urbain apocalyptique, drogues synthétiques, sous oublier l'inscription du récit dans la réalité sociale et politique : l'ex-Yougoslavie, l'Algérie, la délinquance en banlieues, les attentats du World Trade Center… Dans cette critique hallucinée de la décennie 1990 qui a vu fleurir en Europe la misère économique, la violence, l'insécurité généralisée et la haine, l'auteur dépeint une société gangrenée par un Mal qui devient de plus en plus absolu à mesure même qu'il se dévoile. --Ce texte fait référence à l'édition Broché .
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11 septembre 2001, un nouveau monde commence "car la destruction n’est pas un point final mais un préliminaire". Kernal, le flic narrateur de Villa Vortex, meurt quelques jours après ce commencement, tué par l’explosion d’une bombe posée sous son bureau et nous raconte en 800 pages la fin des temps, à travers les dix dernières années de sa vie.
Attention ! Ouvrir un roman de Dantec c’est comme entrer en religion. Oubliez tous vos repères, toutes vos valeurs, vous entrez dans un nouveau monde. Un monde apocalyptique et théologique, sans limite… les adjectifs sont infinis tant son écriture est riche, violente et poétique.
Au rythme de "Diamond Dogs" de David Bowie, Villa Vortex est un roman placé sous le signe d’un thème cher à Dantec, la machine : informatique, sociale, politique, religieuse… Dantec écrit l’Histoire de la fin du XXe siècle à travers celle d’un flic déjanté et hors norme. Kernal le flic vit l’effondrement du monde, depuis la chute du mur de Berlin jusqu'à celle des Twin Towers. Il nous plonge dans une vision prophétique de notre temps sans rien oublier : violence, serial killer, terrorisme, inertie des institutions, corruption de l’État, religion… L’auteur est clair, ce livre est une fiction, mais "la vie est une fiction". Villa Vortex est un roman multiple par les différences de tons, d’écriture, les histoires et les intérêts s’entremêlent sans jamais, pourtant, perdre le lecteur. Dantec dose les genres, maîtrise, innove. Il reste inclassable, impossible de le ranger dans un seul genre littéraire même si on peut le rapprocher de Dan Simmons, de Jean-Christophe Grangé ou de Jean-Michel Truong. Il les dépasse et les englobe. Thriller, politique fiction, roman historique, théologique, traité de sciences humaines et de science-fiction, Villa Vortex est bien plus que cela. Combien de livres se rejoignent et se croisent dans ce Livre des Livres ? À vous de le découvrir…
Les romans de Dantec sont des bulldozers jubilatoires qui vous prennent violemment dès la première page pour vous emmener en pleine extase jusqu’à la dernière. "Il est de mon devoir aujourd’hui de t’emmener toi aussi, lecteur, dans cette expérience". --_Nadia Krovnikoff_ --Ce texte fait référence à l'édition Broché .
Présentation de l'éditeur
Le 11 septembre 2001, l'inspecteur Kernal décroche son téléphone qui lui explose à la figure. Agonisant, Kernal remonte le temps, nous racontant les dix dernières années de son existence, cette décennie où le monde tel que nous le connaissons part en fumée.
Fraîchement débarqué à la police de Vitry après de brillantes études en sciences sociales, Kernal avait été confronté à une série de crimes horribles entre 1991 et 1993 : des corps de jeunes filles recouverts de composants électroniques retrouvés aux environs de centrales électriques et nucléaires. Comme si le tueur voulait faire de ses victimes des marionnettes dernier cri…
Nous retrouvons dans Villa Vortex tous les thèmes chers à l'auteur : serial killer technologique, décor urbain apocalyptique, drogues synthétiques, sous oublier l'inscription du récit dans la réalité sociale et politique : l'ex-Yougoslavie, l'Algérie, la délinquance en banlieues, les attentats du World Trade Center… Dans cette critique hallucinée de la décennie 1990 qui a vu fleurir en Europe la misère économique, la violence, l'insécurité généralisée et la haine, l'auteur dépeint une société gangrenée par un Mal qui devient de plus en plus absolu à mesure même qu'il se dévoile. --Ce texte fait référence à l'édition Broché .