Une France en grève générale permanente, où l'état est aux abonnés absents, est devenue le terrain de jeu de gangs hyper-violents qui s'étripes joyeusement au nom de préceptes philosophico-politiques réduits à l'état de cris de guerre ou d'étendards vidés de leurs sens.
Bien sur, toutes ces belles idées ne sont que des prétextes, pour ces mâles plein de testostérone, à s'inventer une vie, vainement héroïque, peuplée de chevauchée sur grosses cylindrée et de fusillades avec gros calibres.
Jean-Bernard Pouy nous entraîne dans la lutte à mort entre la Faction Armée Spinoziste et les Jeunes Hégeliens, qui laissera une longue traîné de sang sur le bitume de Paris à Marseille, dans un court roman 100% rock'n'roll, totalement réjouissant, sur les grandes idées brandies par de petits hommes.
Moi, Julius, Commandeur du groupe crash le plus honni par le peuple saumâtre des hégéliens, n'ai que des ennemis. Et mon pire ennemi, je lui souhaite la pire des choses. Moral car prévisible. Quand il sera au bout de mon P.38, j'appuierai sur la détente. Mes bottes de lézard mauve vont tremper dans du sang esthétique. Normal car spinoziste.
Description:
Une France en grève générale permanente, où l'état est aux abonnés absents, est devenue le terrain de jeu de gangs hyper-violents qui s'étripes joyeusement au nom de préceptes philosophico-politiques réduits à l'état de cris de guerre ou d'étendards vidés de leurs sens.
Bien sur, toutes ces belles idées ne sont que des prétextes, pour ces mâles plein de testostérone, à s'inventer une vie, vainement héroïque, peuplée de chevauchée sur grosses cylindrée et de fusillades avec gros calibres.
Jean-Bernard Pouy nous entraîne dans la lutte à mort entre la Faction Armée Spinoziste et les Jeunes Hégeliens, qui laissera une longue traîné de sang sur le bitume de Paris à Marseille, dans un court roman 100% rock'n'roll, totalement réjouissant, sur les grandes idées brandies par de petits hommes.
« Spinoza encule Hegel » a connu deux suites : « A sec » et « Avec une poignée de sable
4ème de couv' :
Moi, Julius, Commandeur du groupe crash le plus honni par le peuple saumâtre des hégéliens, n'ai que des ennemis. Et mon pire ennemi, je lui souhaite la pire des choses. Moral car prévisible. Quand il sera au bout de mon P.38, j'appuierai sur la détente. Mes bottes de lézard mauve vont tremper dans du sang esthétique. Normal car spinoziste.