" Le grand, l'unique Bukowski est de retour ! Avec, encore une fois, une autobiographie déguisée. Dans Au sud de nulle part, c'est toujours le vieux Chinaski qui éructe son désespoir, sa folie, ses névroses. " Claire Gallois, Le Figaro. "... directement à l'estomac et le plus fort possible. Qu'il s'imagine mettre K.O. sur un ring de boxe son modèle admiré et détesté, Ernest Hemingway, qu'il raconte l'histoire atroce et paillarde du cannibale Maja Thurup, celle de l'homme tombé amoureux d'un mannequin d'étalage, ou celle du diable lubrique prisonnier dans une baraque foraine, il peint toujours la solitude, la misère d'aimer. Mais il peint au couteau. " Michel Braudeau, L'Express. " Vingt-sept nouvelles brèves qui sont autant d'instantanés cinglants derrière les palissades au néon. Une autobiographie en tranches saignantes ? Pourquoi pas. Mais surtout une autre face de l'Amérique dont l'Oncle Charles serait le plus poignant des clowns tristes. " Gilles Pudlowski, Paris-Match.
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" Le grand, l'unique Bukowski est de retour ! Avec, encore une fois, une autobiographie déguisée. Dans Au sud de nulle part, c'est toujours le vieux Chinaski qui éructe son désespoir, sa folie, ses névroses. " Claire Gallois, Le Figaro. "... directement à l'estomac et le plus fort possible. Qu'il s'imagine mettre K.O. sur un ring de boxe son modèle admiré et détesté, Ernest Hemingway, qu'il raconte l'histoire atroce et paillarde du cannibale Maja Thurup, celle de l'homme tombé amoureux d'un mannequin d'étalage, ou celle du diable lubrique prisonnier dans une baraque foraine, il peint toujours la solitude, la misère d'aimer. Mais il peint au couteau. " Michel Braudeau, L'Express. " Vingt-sept nouvelles brèves qui sont autant d'instantanés cinglants derrière les palissades au néon. Une autobiographie en tranches saignantes ? Pourquoi pas. Mais surtout une autre face de l'Amérique dont l'Oncle Charles serait le plus poignant des clowns tristes. " Gilles Pudlowski, Paris-Match.