«Les Nuits blanches» : Ubn beau roman d'amour. La rencontre, puis les rendez-vous volés aux rues de Saint-Pétersbourg, quatre soirées durant, d'un homme et une femme que leur sensibilité commune rapproche. Deux cœurs solitaires s'ouvrent l'un à l'autre dans cette douceur du soir qui est sans doute le pays des âmes-sœurs... Une parenthèse d'amour que la brume d'un matin refermera, laissant aux deux rêveurs tout le loisir de s'aimer désormais en rêve.
«Le Moujik Marey» : Enfermé parmi les forçats, près de perdre son âme, l'auteur se rappelle un souvenir d'enfance, celui du Moujik Marey, qui lui donne un nouveau regard, qui fait disparaître la haine et la colère de son cœur, qui lui redonne la capacité d'aimer les autres.
«Krotkaia» («La Douce») : «Imaginez un mari en présence du cadavre de sa femme étendu sur une table. C'est quelques heures après le suicide de cette femme, qui s'est jetée par la fenêtre. Le mari est dans un trouble extrême et n'a pu encore rassembler ses pensées. Il marche à travers l'appartement et s'efforce d'élucider cet événement.» Ce conte prend la forme d'un récit à lire à voix haute. Le narrateur nous fait partager les interrogations et les tergiversations du mari, ancien officier congédié de l'armée, usurier hypocondriaque.
«La Centenaire» : Une vieille, très vieille femme, rencontrée dans la rue. Que devient-elle? L'auteur imagine son dernier voyage, sa dernière rencontre et une fin paisible parmi les siens.
«L'Arbre de Noël» : Ce conte n'est pas sans rappeler celle de la «petite fille aux allumettes». Un enfant vient de perdre sa mère, est perdu lui-même dans une grande ville, froide, impersonnelle, un soir de Noël, et meurt tout seul, dans une cour derrière un tas de bois. Il est recueilli par Jésus lui-même, qui l'emmène voir son arbre, l'arbre de Noël de Jésus.
Description:
«Les Nuits blanches» : Ubn beau roman d'amour. La rencontre, puis les rendez-vous volés aux rues de Saint-Pétersbourg, quatre soirées durant, d'un homme et une femme que leur sensibilité commune rapproche. Deux cœurs solitaires s'ouvrent l'un à l'autre dans cette douceur du soir qui est sans doute le pays des âmes-sœurs... Une parenthèse d'amour que la brume d'un matin refermera, laissant aux deux rêveurs tout le loisir de s'aimer désormais en rêve. «Le Moujik Marey» : Enfermé parmi les forçats, près de perdre son âme, l'auteur se rappelle un souvenir d'enfance, celui du Moujik Marey, qui lui donne un nouveau regard, qui fait disparaître la haine et la colère de son cœur, qui lui redonne la capacité d'aimer les autres. «Krotkaia» («La Douce») : «Imaginez un mari en présence du cadavre de sa femme étendu sur une table. C'est quelques heures après le suicide de cette femme, qui s'est jetée par la fenêtre. Le mari est dans un trouble extrême et n'a pu encore rassembler ses pensées. Il marche à travers l'appartement et s'efforce d'élucider cet événement.» Ce conte prend la forme d'un récit à lire à voix haute. Le narrateur nous fait partager les interrogations et les tergiversations du mari, ancien officier congédié de l'armée, usurier hypocondriaque. «La Centenaire» : Une vieille, très vieille femme, rencontrée dans la rue. Que devient-elle? L'auteur imagine son dernier voyage, sa dernière rencontre et une fin paisible parmi les siens. «L'Arbre de Noël» : Ce conte n'est pas sans rappeler celle de la «petite fille aux allumettes». Un enfant vient de perdre sa mère, est perdu lui-même dans une grande ville, froide, impersonnelle, un soir de Noël, et meurt tout seul, dans une cour derrière un tas de bois. Il est recueilli par Jésus lui-même, qui l'emmène voir son arbre, l'arbre de Noël de Jésus.