De Villon à Devos, cent et une plumes ont fait valser la langue et secoué les mots de la tribu. Plumes malicieuses ou turbulentes, saccageuses ou friponnes, hilarantes ou aventurières, rassemblées dans ce florilège égoïste et drolatique. C'est Patrice Delbourg qui bat les cartes de ce grand jeu des 7 familles : Les tueurs à gags : prescripteurs de pastilles contre l'amertume, de toutes les matières c'est l'humour qu'ils préfèrent. Alphonse Allais, Francis Blanche, Fernand Raynaud, René Goscinny... Les saltimbanques de la satire : versés dans l'étrange entreprise de faire s'esclaffer les honnêtes gens, leur comique a souvent mauvaise réputation. Molière, La Fontaine, Georges Feydeau, Pierre Desproges... Les bricoleurs du lexique : où passe leur langue, le verbe ne repousse pas. Henri Michaux, Boby Lapointe, Georges Perec, Serge Gainsbourg... Les truculents sarcastiques : des fatrasies médiévales aux écrans noirs de nos nuits blanches, ils jettent leurs pavés dans la mare du bon sens. François Rabelais, Louis-Ferdinand Céline, Jacques Perret, Michel Audiard... Les tragiques absolus : ils cotisaient à la fratrie des misanthropes, leur existence s'est achevée par un boum. André Frédérique, Chaval, Jacques Rigaut, Romain Gary... Les euphoriques de l'aphorisme : leurs maximes sont des objets d'orfèvrerie, des projectiles imparables que l'ironiste tire sur sa cible. Alfred Capus, Félix Fénéon, Jules Renard, Jean Yanne... Les princes sans rire : passés soigneusement à côté du bonheur, il ne leur suffit pas de mettre les rieurs de leur côté. Léon Bloy, Paul Léautaud, Emil Cioran, Louis Calafèrte... Paroliers et chansonniers, poètes et romanciers, aphoristes et fabulistes... Six siècles d'impertinence s'affichent ici en majesté. Entrer dans le cercle des jongleurs disparus !
Description:
De Villon à Devos, cent et une plumes ont fait valser la langue et secoué les mots de la tribu. Plumes malicieuses ou turbulentes, saccageuses ou friponnes, hilarantes ou aventurières, rassemblées dans ce florilège égoïste et drolatique. C'est Patrice Delbourg qui bat les cartes de ce grand jeu des 7 familles : Les tueurs à gags : prescripteurs de pastilles contre l'amertume, de toutes les matières c'est l'humour qu'ils préfèrent. Alphonse Allais, Francis Blanche, Fernand Raynaud, René Goscinny... Les saltimbanques de la satire : versés dans l'étrange entreprise de faire s'esclaffer les honnêtes gens, leur comique a souvent mauvaise réputation. Molière, La Fontaine, Georges Feydeau, Pierre Desproges... Les bricoleurs du lexique : où passe leur langue, le verbe ne repousse pas. Henri Michaux, Boby Lapointe, Georges Perec, Serge Gainsbourg... Les truculents sarcastiques : des fatrasies médiévales aux écrans noirs de nos nuits blanches, ils jettent leurs pavés dans la mare du bon sens. François Rabelais, Louis-Ferdinand Céline, Jacques Perret, Michel Audiard... Les tragiques absolus : ils cotisaient à la fratrie des misanthropes, leur existence s'est achevée par un boum. André Frédérique, Chaval, Jacques Rigaut, Romain Gary... Les euphoriques de l'aphorisme : leurs maximes sont des objets d'orfèvrerie, des projectiles imparables que l'ironiste tire sur sa cible. Alfred Capus, Félix Fénéon, Jules Renard, Jean Yanne... Les princes sans rire : passés soigneusement à côté du bonheur, il ne leur suffit pas de mettre les rieurs de leur côté. Léon Bloy, Paul Léautaud, Emil Cioran, Louis Calafèrte... Paroliers et chansonniers, poètes et romanciers, aphoristes et fabulistes... Six siècles d'impertinence s'affichent ici en majesté. Entrer dans le cercle des jongleurs disparus !