Antoine
Blondin, pilier de bar et pilier de la bande des Hussards, (Nimier, Déon,
Nourrissier, et les deux jacques Perret et Laurent et quelques autres)a cessé
de lever le coude et de tremper sa plume dans l’amitié il y a 20 ans tout
juste : le 7 juin 1991.
Résumé
succinct de L'Humeur Vagabonde :
Benoît
quitte femme et enfants pour tenter fortune à Paris. Rastignac triste, il s'égare dans le
Père-Lachaise. Quand il revient au pays, sa mère le prend pour un amant de sa
femme et tue l'épouse supposée infidèle. Maintenant Benoît peut revenir à
Paris. Parce qu'on flaire sur lui l'odeur du crime, la capitale s'offre
à lui. Pas pour longtemps. Un nouveau caprice du Tout-Paris, et il est rejeté.
Une fablecomique et triste, une petite musique aigre-douce,
le ton inimitable de Blondin.
Entre
la première phrase...:
« Après
la Seconde Guerre mondiale, les trains recommencèrent à rouler. On rétablit le
tortillard qui reliait notre village à la préfecture. J’en profitai pour
abandonner ma femme et mes enfants »
et la
dernière ……:
« Un jour, peut-être, nous abattrons les
cloisons de notre prison ; nous parlerons à des gens qui nous
répondront ; le malentendu se dissipera entre les vivants ; les morts
n’auront plus de secrets pour nous.
Description:
Résumé succinct de L'Humeur Vagabonde :
Benoît quitte femme et enfants pour tenter fortune à Paris. Rastignac triste, il s'égare dans le Père-Lachaise. Quand il revient au pays, sa mère le prend pour un amant de sa femme et tue l'épouse supposée infidèle. Maintenant Benoît peut revenir à Paris. Parce qu'on flaire sur lui l'odeur du crime, la capitale s'offre à lui. Pas pour longtemps. Un nouveau caprice du Tout-Paris, et il est rejeté. Une fable comique et triste, une petite musique aigre-douce, le ton inimitable de Blondin.
Entre la première phrase...:
« Après la Seconde Guerre mondiale, les trains recommencèrent à rouler. On rétablit le tortillard qui reliait notre village à la préfecture. J’en profitai pour abandonner ma femme et mes enfants »
et la dernière ……:
« Un jour, peut-être, nous abattrons les cloisons de notre prison ; nous parlerons à des gens qui nous répondront ; le malentendu se dissipera entre les vivants ; les morts n’auront plus de secrets pour nous.
Un jour, nous prendrons des trains qui partent. »
…c ’est rien que du bonheur !!!